Le système contre le peuple — Analyse pour Voix-Plurielles
Par l’équipe éditoriale de Voix-Plurielles Depuis le 12 octobre 2025, le Cameroun traverse une crise post-électorale marquée par des revendications de victoire citoyenne, la diffusion massive de procès-verbaux (PV) locaux et une montée simultanée de la répression. Entre publications de PV montrant des tendances favorables à Issa Tchiroma Bakary et
Quand le pouvoir traite ses opposants de “psychopathes politiques” : anatomie d’un délire institutionnel
Par l’équipe éditoriale de Voix Plurielles Yaoundé, octobre 2025.Le ministre d’État Jacques Fame Ndongo, figure tutélaire du régime et chantre de la “pensée biyaïste”, vient de signer une tribune au titre pour le moins déroutant : “Président auto-proclamé et président élu : le nouveau statut imaginaire des psychopathes politiques.” Un
Cameroun 2025 : urnes contestées, institutions contestées
Le moment politique Le 12 octobre 2025, l’opposant Issa Tchiroma Bakary s’est proclamé vainqueur et a appelé Paul Biya à reconnaître sa défaite. Les autorités rappellent que seul le Conseil constitutionnel peut proclamer les résultats. L’annonce officielle est attendue d’ici la fin d’octobre (date annoncée autour du 23–26 octobre selon
Un communiqué sous tension : quand la sécurité prend le pas sur la démocratie
Par la rédaction de Voix-PluriellesÉlection présidentielle – 11 octobre 2025 À 24 heures du vote présidentiel, le gouvernement camerounais impose une série de restrictions sévères sous couvert de « mesures préventives ». Mais à y regarder de plus près, ce communiqué signé du MINAT s’apparente moins à une précaution sécuritaire
Cameroun: Menaces, riposte et démocratie en sursis
Par la rédaction de Voix-PluriellesÉlection présidentielle – 11 octobre 2025 À quelques heures du scrutin présidentiel, le climat politique camerounais prend une tournure préoccupante. Le ministre de l’Administration territoriale, Paul Atanga Nji, a lancé une menace publique d’arrestation à l’encontre de tout candidat qui oserait annoncer des résultats électoraux avant
Paul Biya : Victoire sans difficulté ou démocratie sans adversaire ?
Par un citoyen lucide – Blog Voix-Plurielles Le 12 octobre 2025, le Cameroun se rendra aux urnes. Mais pour qui ? Pour quoi ? La publication d’un article élogieux signé Paul Daizy Biya nous présente une élection gagnée d’avance par le président sortant, Paul Biya. Il y serait question de
Présidentielle 2025 : Quand le pouvoir dit tout haut ce que la démocratie ne veut pas entendre
Paroles, silence et menaces : le système Biya mis à nu par son propre ministre Édito | Voix-Plurielles — Le 10 octobre 2025, à deux jours d’un scrutin présidentiel déjà controversé, le ministre Atanga Nji a brisé l’illusion d’un processus démocratique neutre. Entre menaces publiques, manipulations administratives et silences inquiétants,
Présidentielle 2025 au Cameroun : une élection verrouillée, un avenir incertain
À quelques jours du scrutin présidentiel du 12 octobre 2025, le Cameroun s’apprête à vivre une nouvelle élection sous haute tension. Dans un pays dirigé depuis 43 ans par Paul Biya, 92 ans, la perspective d’un véritable changement politique semble, une fois encore, compromise. Un président absent, mais omniprésent L’apparition
Questions Primordiales pour l’Élection Présidentielle Camerounaise 2025
Synthèse des Interrogations Citoyennes par Voix Plurielles Introduction : L’Expression Démocratique à l’Ère Numérique Depuis la fermeture des dossiers de candidature pour les élections présidentielles au Cameroun, Voix -Plurielles a mené une analyse approfondie des préoccupations citoyennes exprimées à travers différents canaux de communication. Cette démarche d’écoute démocratique s’est déployée
Au-delà de la « Bêtise » : Anatomie d’un Système Electoral Verrouillé
Une Réponse à François Soudan sur l’Opposition Camerounaise Introduction : La Question Mal Posée François Soudan interrogeait recemment la « bêtise » supposée de l’opposition camerounaise. Mais cette question, bien qu’elle révèle une frustration légitime, détourne l’attention du véritable problème : le Cameroun ne souffre pas d’une opposition « bête », mais d’un système



