En tant qu’éducatrice, poétesse, artisane et gardienne du patrimoine culturel, j’ai fait un choix : celui de privilégier l’impact à la quantité.
Dans un monde obsédé par la visibilité, les chiffres et la viralité, je choisis la profondeur.
Je ne mesure pas mon succès au nombre de personnes qui me suivent, de vues ou de mentions « j’aime ». Je le mesure à la force d’une parole transformatrice, à l’éveil d’un esprit, à la transmission d’une sagesse ancestrale qui résiste à l’oubli.
Quand j’enseigne, c’est pour transformer.
Quand j’écris, c’est pour éveiller.
Quand je crée, c’est pour guérir et reconnecter.
Quand je préserve la culture, c’est pour que la mémoire de nos ancêtres continue à vivre.
Certains semis prennent du temps à germer. Certains héritages se bâtissent dans le silence.
Mais chaque geste, chaque mot, chaque offrande artisanale porte une trace durable. Et si mon travail ne touche que quelques personnes, mais les transforme profondément, alors j’ai accompli ma mission.
Si vous marchez à mes côtés, sachez-le :
Nous ne courons pas après la foule. Nous cultivons des consciences.
Nous ne faisons pas du spectacle. Nous faisons mémoire.
Nous ne créons pas pour créer. Nous consacrons.
C’est là mon engagement.
Merci d’être ici — non comme un chiffre, mais comme une part de l’impact.
