Le Cameroun à feu et à sang : une crise, des erreurs, et des leçons ignorées
Depuis la proclamation contestée des résultats de l’élection présidentielle du 26 octobre 2025, le Cameroun s’enfonce dans un cycle de répression violente et de chaos institutionnel. Au lieu d’apaiser, le gouvernement a choisi de répondre aux marches pacifiques par la brutalité, les armes, et la peur. Une erreur stratégique, politique
Le système contre le peuple — Analyse pour Voix-Plurielles
Par l’équipe éditoriale de Voix-Plurielles Depuis le 12 octobre 2025, le Cameroun traverse une crise post-électorale marquée par des revendications de victoire citoyenne, la diffusion massive de procès-verbaux (PV) locaux et une montée simultanée de la répression. Entre publications de PV montrant des tendances favorables à Issa Tchiroma Bakary et
When Washington Speaks: A Call for Transparency and Restraint in Cameroon
Analyse Voix-Plurielles – Par Dr. Madiesse-Nguela Le 21 octobre 2025, le membre du Congrès américain Jonathan L. Jackson, fils du révérend Jesse Jackson, a publié une déclaration officielle exprimant son inquiétude quant au déroulement et aux suites de l’élection présidentielle au Cameroun. Son message, mesuré mais ferme, marque une rare
Cameroon 2025: The People Have Voted, Power Resists — The Last Battle of Paul Biya
By the Editorial Team, Voix-Plurielles A Country at a Crossroads The October 12, 2025 presidential election has plunged Cameroon into a moment of rare tension.While the government insists that only the Constitutional Council can announce official results, opposition candidate Issa Tchiroma Bakary has proclaimed a “clear victory”, supported by official
Cameroun 2025 : urnes contestées, institutions contestées
Le moment politique Le 12 octobre 2025, l’opposant Issa Tchiroma Bakary s’est proclamé vainqueur et a appelé Paul Biya à reconnaître sa défaite. Les autorités rappellent que seul le Conseil constitutionnel peut proclamer les résultats. L’annonce officielle est attendue d’ici la fin d’octobre (date annoncée autour du 23–26 octobre selon
Paul Biya : Victoire sans difficulté ou démocratie sans adversaire ?
Par un citoyen lucide – Blog Voix-Plurielles Le 12 octobre 2025, le Cameroun se rendra aux urnes. Mais pour qui ? Pour quoi ? La publication d’un article élogieux signé Paul Daizy Biya nous présente une élection gagnée d’avance par le président sortant, Paul Biya. Il y serait question de
Présidentielle 2025 au Cameroun : une élection verrouillée, un avenir incertain
À quelques jours du scrutin présidentiel du 12 octobre 2025, le Cameroun s’apprête à vivre une nouvelle élection sous haute tension. Dans un pays dirigé depuis 43 ans par Paul Biya, 92 ans, la perspective d’un véritable changement politique semble, une fois encore, compromise. Un président absent, mais omniprésent L’apparition
Questions Primordiales pour l’Élection Présidentielle Camerounaise 2025
Synthèse des Interrogations Citoyennes par Voix Plurielles Introduction : L’Expression Démocratique à l’Ère Numérique Depuis la fermeture des dossiers de candidature pour les élections présidentielles au Cameroun, Voix -Plurielles a mené une analyse approfondie des préoccupations citoyennes exprimées à travers différents canaux de communication. Cette démarche d’écoute démocratique s’est déployée
Au-delà de la « Bêtise » : Anatomie d’un Système Electoral Verrouillé
Une Réponse à François Soudan sur l’Opposition Camerounaise Introduction : La Question Mal Posée François Soudan interrogeait recemment la « bêtise » supposée de l’opposition camerounaise. Mais cette question, bien qu’elle révèle une frustration légitime, détourne l’attention du véritable problème : le Cameroun ne souffre pas d’une opposition « bête », mais d’un système
🇨🇲 Cameroun – Présidentielle 2025 : Démocratie de façade, militarisation de l’espace politique et confiscation du droit
Alors que le monde attend des élections libres, justes et transparentes, le Cameroun offre une illustration dramatique de ce que représente la dérive autoritaire dans un État sans séparation des pouvoirs. L’exclusion arbitraire de Maurice Kamto, figure majeure de l’opposition, la mise à l’écart silencieuse de Léon Théllier Onana, pourtant



